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											| Gourvennec (Jacques)
 Peintre et poète, Jacques Gourvennec appartient à ces hommes dont la Vie et l'expression ne font qu'un. Ce que l'on nomme "destin" est aussi la résultante d'accidents de la vie. La poésie constitue une arme,
 une arme pour vivre. Calo Brooklyn
 
 "Ne plus écrire ou bien la mort anticipée, c'est du pareil au même !"
 "La nuit parfois hurle les mots qu'un silence applaudit" J. Gourvennec
 
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 Tu sais petite
 
 Ça vient… tu sais petite…
 On ne sait jamais d’où
 À peine viens-tu à naître…
 Et déjà tu te couches
 Dans le matin dressé
 Quand le rêve se mouche
 Dans son ventre d’hiver…
 Dans la trace des loups
 
 Quand ton coeur se froisse au plus clair des saisons
 Quand se fane une fleur dans le froid d’autres yeux
 Quand les roses voient rouge un amour diapason
 Qu’un rêve t’abandonne où s’invente le bleu.
 
 Ça vient… tu sais petite…
 On ne sait jamais d’où
 À peine viens-tu à naître…
 Et déjà des vautours
 Planent, tournent et s’élancent
 Au premier carrefour
 Sous le fard d’un ange…
 A la mort à l’amour
 
 A t’offrir des lunes…
 Au ciel des alouettes
 Dans leurs îles lointaines…
 Enivrés de serr’ments
 D’inédits de Van Gogh
 Au soleil qui s’émiette
 Tant la fleur est du mal…
 Un silence fait d’argent
 
 Dans un gris cathédral…
 Fait de dômes et de voûtes
 Dans un lit jamais fait…
 En vitrine en tes rêves
 Où les dés sont jetés
 A chaque heure de ta route
 Comme un dieu de hasard…
 Dans un ciel qui crève
 
 Quand ton coeur se froisse au plus clair des saisons
 Quand se fane une fleur dans le froid d’autres yeux
 Quand les roses voient rouge un amour diapason
 Qu’un rêve t’abandonne où s’invente le bleu.
 
 Puis un jour petite…
 Tu pars on ne sait où
 C’est à peine qu’on t’aime…
 Et déjà tu te couches
 Dans le matin dressé
 Quand la mort se mouche
 Dans son ventre d'hiver…
 Au parking des cailloux
 
 Jacques Gourvennec
 
 "Peut-on parler de tout avec la poésie ? Sans aucun doute ! Chacun de nous a remarqué qu’en poésie le plus souvent, on parle de la vie. Et surtout de la vie ! La vie en générale voulais-je dire, avec tous ses couics et ses couacs, ses bonnes et ses fausses notes. On sait aussi parler des fleurs, de ce qui papillonne ou bien gazouille, tout comme il est d’usage d’aller chercher la rime pour...toutes nos maladies, pour la souffrance de l’un, ou la douleur de l’autre, quelle soit physique ou bien morale. En poésie on sait tout faire, ou plutôt non, on sait tout dire... Enfin presque tout !" lire la suite =>
 
 
 
						
							|   | suite Peut-on parler de tout avec la poésie ?
 par Jacques Gourvennec
 
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							|   | "Tempête" par Jacques Gourvennec
 Huile sur toile 1997
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							|   | Je gère 
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							|   | LE CHAT 
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							|   | Tout ce qui ne se dit pas 
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							|   | Madame la poésie 
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							|   | Poète... Sale type ! 
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							|   | Silence ! 
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							|   | Noirs plaisirs 
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							|   | La langue de statue 
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							|   | Vaguement toi 
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