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Joubert (Jean-François)

Bellevue

Bellevue

39/45 tel est ma devise, ma phobie, ma folie… Brest, je suis sorti de tes veines, vestige, racine et [#] je peine à voir les murs gris cerise, quand le voyage vertige… Je rends hommage à ta cité corsaire, sang [/C/] cité, tu m’as offert la vie, ton monde de pierre, de schiste et de granite, tu es verte maintenant, tes portes, ailes, se sont ouvertes, les quatre, celle du train, et ce ciel bleu colère, qui tonne et qui étonne quand notre mère se lève, elle maudît le pèlerin pas l’oiseau, de mauvais augure, que je sais hêtre…

Ma ville, mon ancre, ma chine, mes fruits mûr qui galopent /Pégase/ dans l’éther, et cherche la paix, au cumulus hurlant ses fleurs de pluie… sur nos têtes de condamné à vivre dans le silence du sous sol, las des bonbonnes d’acier, ce qu’il est interdît de scier sous peine d’explosion,. Ça je le sais aussi car la vie m'a puni... J’ai vu la mort, le sens interdit, celle de croire que l’on peut brûler des pneus, jeter des patates, rejouer à la guerre du feu, en flingue moderne, dans les rues, les ruisseaux qui ruissellent, et Rousseau « philosophe qui apostrophe » des artères du sol fait…

Que fais-je, si les consonnes, et les voyelles sont marquée Anatole France, Siam, ou Jean Jaurès ?

Certains pensent : « j'aurai ta peau déesse, sucrée/salée ! » Ils croient « auto » je croise l’oiseau, je panse à l'eau ma chaire qui coule quand j'assoie, assoiffé, ma solitude sur un banc, je sens la brise qui me caresse, sa tendresse, son essence de brume et ce LA me laisse sans voix, plein de croix, et de craie... Croyez-moi sur mesure, 1 mètre 69 au garrot, et tant de carreaux brisés. Sans adresse, je jongle des pieds, je casse des murmures, et je tends la main vers la lumière du soleil, qui veille au grain derrière les lourds nuages, chargé de l'arme et d’âmes...

Brest, ce texte, je le porte en encre marine, sur mon cœur optimiste, je suis celui qui regarde les formes des rochers quant je ballade ma monotonie, au creux des rus. J’ai cru en toi, et tu dérives si la clef de sol m’isole sur cette ligne de Klein qui annonce le déclin, d’un château fort à la dérive, un cours élémentaire de savoir-vivre, respirer, la Terre, le respect, le reste paix, de la pomme, de la poire et le serpent, étoile, arc-en-ciel… Ceux des cieux, des yeux de l’éternel recommencement de la bêtise sapiens sapiens, ceux qui croient être, et ne sont que des pins, sans l’équilibre du « ça »

Sur un bateau, je pense lapin, mange des tomates et du lièvre… Parfois, je crève ma coque de no/Y\X\………………………………………………………..Ma scelle d’émoi…mon séant, mon océan, eau cyan, outremer ou cobalt !!!!!!!!!

Le doute me coule, comme ce sang qui navigue en mon émoi, ma maison sans toi. Cette nouvelle, ce mâle de chien qui rapproche de la fin, sans reproche, le cinq de ce moi, j’aurais tué ma peine de traîner ma misère de la rue Borda, au centre de Saint-martin, de ne pas connaître les lois, le mystère de la voix, de Lavoisier, sa réponse de la poule au pot d’échappement, je mens si je vole, je convole et l’on rigole de ma tristesse, pas de chance dans ce mal veine qui pique jaune turquoise, la tête en l‘air, la lune à l’abandon, je sollicite ton pardon sur le nombre de bulles de houblons absorbées sans compter les poissons d’argile, pourtant agile et prisonnier des Folles, ce défilé d’émail large, ces dents de carnassier et cariées, la carrière mise en bière. Chuuuuuuut… Je tombe…mutation du QG en un doux Poe M…


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