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NAFIR
Nafir, en quelques articles de presse
NAFIR
vu par la presse
vu par la presse nationale et régionale (depuis 1962)
(Les citations sont extraites des articles de presse reproduits dans le dossier de presse consacré à l'artiste)
« NAFIR fait partie de ceux pour qui la peinture est un médium « communicatif » : la toile ne s’incurve plus dans des niches trop sombres, mais renvoie comme un miroir des « flash » colorés qui nous inondent la pupille. » Stéphane DONCQUE
« Ce peintre abstrait n’a rien du charlatan officiel… La droiture de son comportement donne déjà à son art un aspect valable qui nous incite à chercher dans ses œuvres des valeurs communicables… Cet art brut semble avoir, en dehors de toute école, ses lois et ses accomplissements. » (extrait de presse)
« Il s’est inspiré de Klee, de Kandinski, c’est exact ; mais il a déjà fait ainsi un premier choix, et il n’a pas choisi la solution la plus simple… Entre la perspective des Italiens et celle instituée par Cézanne, n’a-t-il pas le droit de choisir celle qu’il créée sur un plan unique ? » (extrait de presse)
« Des visions limpides vers la lisière du rêve avec le support d’une peinture moderne à deviner, graphisme d’un Matisse, charpente féminine d’un Picasso. » (extrait de presse)
« Ses personnages dessinés toujours selon le même schéma (un peu à la manière de Chagall), ses petits villages mêlent une fraîcheur, une naïveté apparente à une grande science de couleurs et de la composition. » S. P.
« Le peintre ose, comme toujours, un univers rappelant Cocteau, Dufy ou Matisse, avec ces « belles », de face ou de profil. » C. G.
« Dans son symbolisme pictural, l’expression de Nafir est comme une fête de l’imagination propice à un épanouissement où l’on retrouve cet esprit de liberté presque magique cher à Paul Klee, Max Ernst, Arp, Miro. » Lucile DUC
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